Un Saby missionnaire en Chine :
Saby Jean-Marie
né le 6/9/1844 à St Maurice de roche (à coté de Retournac au nord-ouest)
il fit ses etudes au petit séminaire de Monistrol et partit le
17/7/1872 en Chine ou il est mort et a été inhumé à Kouy-yang(*) le 7/6/1901.
(*) Guiyang (nouvelle orthographe officielle) dans la province du Guizhou, sud de la Chine. Le cimetiere n'existe surement plus.
"SABY, Jean-Marie, né dans la paroisse Saint-Maurice-de-Roche, commune de Roche-en-Régnier (Haute-Loire), le 24 septembre 1844, fit ses études au petit séminaire de Monistrol. Il entra laïque au Séminaire des M.-E. le 24 septembre 1868, fut ordonné prêtre le 25 mai 1872, et partit le 17 juillet suivant pour le Kouy-tcheou. Il se forma à l'apostolat dans le district de Tou-yun, dont il reçut l'administration en 1875 ; et, l'année suivante, il eut en outre à s'occuper des chrétiens de Pin-yue et de Long-li. Il contribua à la conversion des indigènes habitant au sud de Tou-chan ; il éleva un oratoire dans la station principale de ces néophytes, à Pin-fa.En 1890, il enseigna la philosophie et la théologie au grand séminaire, et, deux ans après, prit la direction du district de Tou-chan et Tin-fan. Il mourut à Kouy-yang le 7 juin 1901. Il fut enterré à Lou-tsong-koan".
http://archives.mepasie.org/notices/notices-biographiques/saby
Il existe en Russie une ville de Bogatye Saby (Volga)
La ville appartient au district Volga à la région Tatarstan republic et à la zone Sabinski district.
Commentaire : on retrouve ici le mot Sabin
La baronnie de Roche-en-Regnier (Haut-Loire)
Où l’on retrouve un Vital Saby (fin 1600) procureur d’office à la baronnie de Roche, mort le 24/02/1739
Sur cette baronnie ont vécu pendant plusieurs siècles de très nombreuses familles Saby.
La Roche avait acquis au XVème siècle une assez grande importance historique c'était une des dix-huit baronnies et une des neuf villes consulaires du Velay. La baronnie s'étendait sur quatre mandements distincts. La cure de Beaune dans le voisinage de Craponne et de Chomelis était à la collation du baron de Roche, le maréchal de Vaux y nommait encore en 1782 c'était le chef-lieu du mandement du haut Maliverna. Le mandement du bas Maliverna dont le chef-lieu était à Saint-Pierre-du-Champ, fut démembré de bonne heure et passa à la maison d'Agrain. Les autres mandements étaient Roche, Àrtias et Retournac, comprenant un grand nombre de villages qui dépendent aujourd'hui des communes de Saint-Vincent, Vorey, Mésères, Saint-Julien-du-Pinet, Beaux, Beauzac, Chamalières, Solignac, Saint-André, etc.
Ainsi elle relève directement du seigneur de Chalencon en Vivarais pour le mandement de Roche, ne reconnaissant la suzeraineté de l'évêque du Puy que pour .les autres mandements, et encore à Retournac (où l’on trouve de nombreuses familles Saby) la seigneurie est-elle indivise entre l'évêque et le baron. L’évêque finit par convertir en titre de comte son titre primitif de seigneur de la ville du Puy, et à soumettre à l'hommage toutes les terres du pays, sauf celle de Montfaucon.
Ainsi, à Roche, c'est une seigneurie et une ville consulaire du même nom, renfermées dans la même enceinte, ayant à la fois des intérêts distincts et des intérêts communs, participant ensemble, l'une par le baron, l'autre par le consul à l'administration du pays
Les premiers seigneurs de Roche en Régnier
Dans l'ordre historique, la paroisse se montre donc avant le fief, l'église rustique avant le château et lui survit. En 927, rien encore n'a révélé l'existence de Roche, ni comme ville, ni même comme baronnie, et, à cette date, Chamalières nous est connu comme un alleu donné à l'église du Puy par Alfred, duc d'Aquitaine, qu'on qualifie comte d'Auvergne et de Velay, et nous savons de plus que l'évêque Goteseal, en 937, en-fit un prieuré conventuel en faveur de l'abbaye de Saint-Chaffre qui la conserva sous sa dépendance jusqu'au mois de décembre 1787, époque où abbaye et prieuré furent à la fois supprimés.
Le prieur de ce monastère venait chaque année siéger aux Etats du pays dans l'ordre du clergé
Le premier des seigneurs de Roche qu'indiquent les historiens du Velay est un Guigue ou Guigon vivant à l'âge d'homme en 1233. Le cartulaire de Chamalières vieillit la race de près de trois siècles en remontant jusqu'au Régnier, Rénarius de Rocha, qui figure et comme partie et comme témoin dans plusieurs actes entre les années 943 à 1020 et précisément ce même Régnier qui, selon d'autres documents, cadet de la maison de Chalencon, serait alors venu asseoir sa domination sur cette Roche et y laisser son nom et sa postérité.
Durand, seigneur de Roche, l'ami du prieur Ebrard et de l'illustre évêque Adhémar de Monteil, gouverna la baronnie pendant la seconde moitié du XIème siècle.
Deux frères. Régnier et Guigon, administrent ensemble la baronnie de 1163 à 1180, ce qui est aussi la coutume dans la maison de Polignac. En 1163, ils furent l'un et l'autre, avec les principaux seigneurs du voisinage, garants et cautions pour le Prieur de Chamalières.
Guigon II , père d'un autre Régnier, lequel laissa un fils qui fut Guigon III, le fils aîné recevant et transmettant, quoi qu'il en coûte, l'entier domaine des ancêtres, et les cadets continuant une dynastie de prêtres et de religieuses.
Un Guillaume de Roche était d'un grand âge lorsqu'il fit son testament le jour des ides d'octobre 1239.
http://abbaye-cisterciene.over-blog.fr
Des Saby qui composent l'arbre généalogique d'une personne médiatique actuelle (Claire Chazal, journaliste) :
Gervais Saby 1650, Comps, Puy de Dôme
Jean Saby 1670-1742, meunier, Comps, Puy de Dôme
Jacques Saby 1701, meunier, marchand
Marie-Anne Saby, cultivatrice, 1730-1763, Chapdes-Beaufort
Vue sur "Hotel des ventes de Toulon
Moulin d'Athie (21500) Côte d'OR vente aux enchères publiques
"Homme au huit reflets et enfants devant une fenêtre
Huile sur carton
Signée Saby en bas à droite
Dimensions : 33,5 x 46 cm
Baguette quart de rond doré moderne
Dimensions : 26,5 x 35 cm
"
L’œuvre de Bernard Saby n’a pas le retentissement qu’elle mérite. Et pourtant, Saby fut reconnu
comme un peintre de première importance par un cercle restreint, mais souvent inconditionnellement admiratif, d’artistes, d’écrivains et d’amateurs d’art. Né à Paris en 1925, Saby se mit à
peindre aux abords de 1950, jusqu’à sa mort en 1975. Il étudia dans sa jeunesse la composition musicale auprès de René Leibowitz qui l’initia aux arcanes de la dodécaphonie et de
l’atonalité.
On relève un autre peintre
Philippe ARTIAS , pseudonyme de Saby-Viricel d'Artias Philippe estné en 1912 à Feurs (Loire), il est décédé en 2002.
Peintre, dessinateur, céramiste. Expressionniste.
Archives départementales de Haute-Loire
http://petit-patrimoine.com/index.php
http://petit-patrimoine.com/moteur_rech_pp_2012.php?rech_gene=1&formulaire=
Croix Saby de Chauviat
Thème : Religieux / Croix Reférence : 63093_4 Ville : Charbonnières-les-Vieilles Département : Puy de dôme (63) |
Croix Saby des Reures
Thème : Religieux / Croix Reférence : 63093_5 Ville : Charbonnières-les-Vieilles Département : Puy de dôme (63) |
http://mpf.provence14-18.org/aff_mplf_unite_age.php?unite=61RI&age=23
Mort pour la France à 23 ans
Louis SABY sergent au 61ème régiment d'infanterie
Mairie d'Allègre
Marcel SABY 1910 (Connangles)-1986 (Allègre)
Instituteur public, historien local et homme d'engagement
Passé par l'Ecole normale, Marcel Saby a fait l'essentiel de sa carrière à Allègre, dans l'enseignement primaire, puis dans l'enseignement agricole, pour terminer sa carrière en tant que professeur de collège (mais dans les locaux de l'ancien Cours complémentaire). Dans sa pédagogie, il fut influencé par les techniques de Célestin Freinet.
Il a laissé un bon souvenir à ses anciens élèves, même si les oreilles de certaines personnes doivent encore s'en souvenir ! Ceux qui appartiennent aux générations les plus anciennes ont tous connus des instituteurs comme Marcel Saby : exigeants, sévères, mais justes.
Historien local
Il a conduit des recherches historiques pendant plus de 20 ans, aux Archives départementales comme dans les archives municipales et publié, outre de nombreux articles dans L'Almanach de Brioude, en 1976, un ouvrage sur « Allègre et son canton » qui fait toujours référence.
Il avait le souci le souci de retracer l'histoire et la vie au quotidien du peuple et de sortir d'une conception de l'histoire orientée vers une érudition un peu savante, pour ne pas dire aristocratique...
Prisonnier de guerre et évadé (à la 3e tentative !), Marcel Saby fut, après la Guerre, l'un des principaux responsables de l'Association communale des Anciens prisonniers. C'est à ce titre qu'il organisa l'accueil de Renée Rozier à son retour de déportation.
Observateur minutieux de la vie locale (il nous a laissé des carnets d'observations très détaillés sur la vie de la commune), il fut correspondant local du journal « La Tribune » pendant de nombreuses années (là aussi, il a laissé un fonds photographique important).
Responsable de la station météo d'Allègre pendant de plus nombreuses années encore.Conseiller municipal de 1965 à 1983. C'était quelqu'un de très apprécié à Allègre, un homme curieux de tout, habité par la passion de comprendre, très ouvert, très attentif à l'autre, spécialement aux jeunes.Il était estimé pour son sens de l'intérêt général, pour sa curiosité intellectuelle et son ouverture d'esprit. Dans sa vie, Marcel Saby sut se conduire en homme d'honneur.
http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/nominatif/?nom=saby&prenoms=&q=
Saby
condamné au bagne en 1879 (Guyane française)
Administration
pénitentiaire coloniale (Série H) - base de données des condamnés
Saby, Antoine Louis Félix
condamné au bagne en 1885 (Nouvelle-Calédonie)
Administration pénitentiaire coloniale (Série H) - base de données des condamnés
Saby, Henri Jules
condamné au bagne en 1899 (Guyane française)
Administration
pénitentiaire coloniale (Série H) - base de données des condamnés
Saby, Julien
condamné au bagne en 1878 (Nouvelle-Calédonie)
Administration
pénitentiaire coloniale (Série H) - base de données des condamnés