Lucien Saby était embarqué (entre autres) sur l'escorteur d'escadre Le Malin et a réalisé en 1949 une maquette dont on trouvera des photos dans ce livre.

Le livre ci-dessus retrace l'histoire de ce navire

Louis Antoine Saby, militaire de 1912 à 1929 (17 ans), 6 campagnes, remobilisé en 39 et mort peu de temps après de maladie mi 1940.

A 18 ans au 10è corps de cuirassiers, puis au 1er régiment de Spahis, 5ème régiment de Spahis, 18ème escadron du train, 19ème bataillon du train, 14ème bataillon du train, 7ème légion de gendarmerie en 1921;

compagne contre l'Allemagne de 1914 à 1919

Algérie 1913-1914

Maroc Oriental en guerre 1914, blessé à la bataille de 'Oued Amlil', puis à Fez

contre l'Allemagne sur front français juin 1916 aout 1917

sur front Orient mars 1918- décembre 1919

puis gendarme à cheval

mariage en 1923, naissance de son fils Lucien le 19 avril 1924, décès de sa femme Jeanne Renaud en 1933

Affecté à la deuxième Légion de gendarmerie

Sanatorium en 1939 à Villiers sur Marne, puis Hôpitale de Laon. Décède en 1940

A découvrir l'aviatrice Lucienne Saby : merci aux personnes qui possèdent des documents concernant cette aviatrice d'avoir la gentillesse de les transmettre via l'adresse email patronymesaby@gmail.com

Guerre 1870 - Classe 1868

Contingent

 SABY Jean,né à Saint-Priest des champs, la Roche, le 6 novembre 1848, cultivateur. Fils de Guillaume Saby et d’Anne MAZERON.

Incorporé à compter du 17 octobre 1869 comme appelé inscrit sous le N° 182 du contingent du Puy-de-Dôme, classe 1868. N° 14 de tirage dans le canton de St-Gervais.

Arrivé au 3e Zouaves, le 14 octobre 1869, à Philippeville. Zouave de 1ère classe le 25 juin 1873. Passé dans l’armée territoriale le 30 juin 1878 au 97e R.T.I.

Site http://saint-priest-des-champs-passionnement.over-blog.com

La grande famine de 1693-1694

 "Cette grande famine est due à un enchaînement d’années désastreuses.

Une dégradation climatique commence en 1690 et jusqu’en 1710. Toutes ces années sont marquées par des hivers très froids et des étés très pluvieux.

La récolte est médiocre en 1692 et des pluies diluviennes de l’automne détruisent les semailles. L’hiver de 1692-1693 est particulièrement rigoureux. Le printemps et l’été de 1693 sont bien trop pluvieux et anéantissent le reste des récoltes. En 1694, s’ensuit un été caniculaire, puis un long hiver glacial. D’octobre 1694 à mars 1695 il fait très froid et il tombe beaucoup de neige. C’est pourquoi les deux années 1693 et 1694 ont été marquées par une terrible disette. Les populations ne meurent pas obligatoirement de faim, mais plutôt de la dysenterie et de la typhoïde. Cette famine provoquera 1,7 million de morts, dont 1 million pour la seule année 1694.

 En consultant les registres de la paroisse de Saint-Priest-des-Champs, on trouve une nette augmentation des décès pour cette période-là et 1694 semble tenir la palme avec 80 morts."

Ce constat est valable pour tous les régistres consultés dans les paroises d'Auvergne et au-delà.

brochurepatrimoine2009_langogne.pdf